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Far Cry 2 : l’Afrique à feu et à sang

Le nouveau jeu d’Ubisoft vous met dans la peau d’un mercenaire en mission sur le continent africain. Votre objectif : éliminer le Chacal et mettre fin aux conflits qui ravagent la population.

En vente aujourd’hui, vendredi 24 octobre 2008, Far Cry 2 sera l’un des jeux les plus marquants de cette année 2008. Graphiquement, il constitue ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle (il
faut une carte graphique musclée pour en profiter pleinement), avec des paysages détaillés, plein de végétation et des conditions météo qui changent à vue d’?”il.Mais là n’est pas son principal avantage. Ce qui marque dans ce jeu est la sensation de liberté qui s’en dégage. Le joueur commande un personnage qui remplit plusieurs missions en Afrique, dont la plupart consiste à
affronter des mercenaires dans des décors divers. Toutes les approches sont bonnes : mettre le feu à la savane pour forcer la progression de l’adversaire (attention à la direction du vent ou à la venue de la pluie qui ruine vos
plans !), se dissimuler en hauteur avec un fusil à lunettes, foncer dans le tas, s’approcher furtivement ou attendre la nuit… Le choix vous appartient entièrement.

Joueurs aguerris

Far Cry 2 s’adresse à un public expérimenté et se révèle plus ardu que la plupart des jeux du genre. La carte, par exemple, n’indique que les ennemis que vous avez repéré. Vous ne pouvez courir
sans arrêt que pendant un temps limité. La jauge de santé baisse assez vite et les kits de soin sont peu nombreux. Pire encore, votre personnage souffre de paludisme et doit se soigner, parfois en pleine action, à l’aide de médicaments
obtenus en récompense de certaines missions.Ce réalisme, ou en tous cas la volonté de ne pas faciliter la tâche au joueur, finit par être un aspect captivant du jeu. Seul le comportement des adversaires, pas toujours réaliste ou cohérent, vient parfois gâcher la fête. Ceci mis à
part, le jeu est à la hauteur des attentes qu’on plaçait en lui.

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Sylvain Simoneau