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Daikatana

Intéressant, votre personnage évolue au fil des missions. En revanche, le but du jeu ne change pas : il s’agit “juste”… de tuer.

Après avoir inventé Doom et Quake, John Romero va encore plus loin dans le concept du jeu d’action en 3D, en introduisant un système de gestion de l’expérience du personnage, un peu à la manière d’un jeu de rôle. Une bonne idée, mais
qui se révèle finalement secondaire, priorité restant à l’action. Car, comme d’habitude avec ce type de jeu, le scénario, en l’occurrence une vague histoire de sabre japonais magique tombé aux mains d’un quelconque affreux jojo, n’est que prétexte
aux affrontements les plus sanglants. Peu importe où et comment, votre seul but est de faire couler l’hémoglobine, aidé en cela par les 25 armes mises à votre disposition … et deux équipiers, hélas, contrôlés par l’ordinateur.
L’avis de la rédaction

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