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Comment nous les avons testés

Le laboratoire applique des protocoles de tests rigoureux pour évaluer les produits. Puis, la rédaction analyse les résultats qui lui sont transmis et les commente.

Plate-forme de test

Afin de réaliser les mesures physiques spécifiques concernant la qualité d’écoute des casques, le laboratoire utilise une tête de mannequin Neumann, spécialement conçue à cet effet. Les casques sont placés dans les « oreilles », tels qu’ils le seraient dans la réalité. Le son est ensuite récupéré par un oscilloscope après avoir transité par un circuit électronique qui permet de simuler la sensibilité humaine de réception des sons. On est donc au plus proche de l’utilisation courante de ces casques.

Les mesures

Le laboratoire a d’abord évalué la bande passante, c’est-à-dire l’aptitude des casques à restituer les sons, des plus graves aux plus aigus. C’est non seulement cette étendue de la bande passante qui a été notée, mais aussi sa régularité : tous les sons doivent être à des niveaux de volume proches quelle que soit leur fréquence. Ensuite, c’est le volume maximum qui a été mesuré, et pour finir la sensibilité : plus elle est élevée, moins la puissance sonore en entrée du casque a besoin d’être élevée pour restituer le son.

Confort du casque

Primordial lors d’une écoute prolongée, le confort a été minutieusement évalué par notre jury. D’autres critères telles la stabilité une fois le casque inséré et la gêne éventuelle occasionnée ont été pris en compte.

Jury d’écoute

Pour vérifier et nuancer les mesures physiques, le laboratoire a placé les membres du jury en situation classique d’utilisation des casques, à savoir en les reliant à un baladeur numérique. A l’aide de morceaux variés représentatifs d’une écoute éclectique et permettant de déceler les défauts des casques dans différents secteurs (volume, manque de basses, voix mal rendues, etc.), chaque membre du jury a noté leur qualité d’écoute.

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Vincent Moreau