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Cinq modèles avec GPS

Avec des caractéristiques proches de celles d’un système de navigation pour voitures, ces petits GPS sont assez efficaces : cartographie, info trafic, instructions vocales audibles…

Glofiish M700, d’Eten : le choix de l’Ordinateur Individuel

Parmi les moins chers de ce dossier, ce smartphone GPS est le plus vaillant et fidèle compagnon de route. Il est doté d’un récepteur GPS très sensible, d’un logiciel rapide de navigation (Route 66 Navigate 7), de cartes
routières (France, Monaco, Andorre) à jour et, enfin, d’un accès gratuit au téléchargement d’informations sur l’état du trafic routier en Internet mobile. Dommage qu’il ne soit pas compatible 3G, ce qui améliorerait la vitesse de transfert des
données.Certes, son écran n’est pas le plus grand (43 x 57 cm), mais les cartes affichées se révèlent bien contrastées et lisibles en plein soleil (275 cd/m²). A côté de cela, les instructions vocales sont
satisfaisantes. Et, avec ce modèle, la saisie des données s’avère tout aussi appréciable, surtout grâce au large clavier qui vient coulisser sous l’écran tactile (en tenant l’appareil d’une main) et fait passer automatiquement l’affichage en mode
paysage.

X7500 Advantage, de HTC : atypique

Ce smartphone GPS 3G obtient la meilleure note en confort d’usage grâce notamment à son large clavier séparé qui vient se fixer sous son grand écran tactile (101 x 75 m). C’est le seul modèle de ce dossier
conçu ainsi en deux blocs distincts. Par ailleurs, cet HTC se distingue par son importante mémoire interne (disque dur de 8 Go), son bon appareil photo et sa webcam.Ses performances globales et son autonomie (7 heures en communication) sont aussi appréciables. Reste que son prix est le plus élevé de ce dossier, qu’il tient difficilement dans une poche vu ses dimensions
(98 x 133 x 16 mm) et qu’il est lourd (368 g).

iPaq hw6915, de HP : seulement autonome

Voici le modèle qui offre la meilleure autonomie en communication (quasiment 10 heures). Malheureusement, c’est aussi l’un des smartphones GPS les moins agréables à utiliser puisqu’il est équipé d’un écran basse définition
(240 x 240 points) de faible luminosité (78 cd/m²) et d’un clavier peu ergonomique en raison notamment de ses touches pas assez bombées. En outre, il n’est pas prêt à l’emploi pour la navigation routière car démuni en standard de
cartes (qui sont toutefois disponibles en téléchargement payant).

E90 Communicator, de Nokia : mauvaises surprises

Sur le papier, ce modèle est compatible 3G, mais à nos tests de téléchargement de données, il se révèle près de six fois plus lent (380 kbit/s) que le X7500 Advantage de HTC. Et malgré sa grosse batterie, son autonomie
est relativement moyenne (4 heures 31 minutes).C’est d’autant plus rageant que c’est le seul smartphone GPS de notre comparatif à offrir à la fois de la gestion de la voix sur IP en standard et de bonnes dispositions pour surfer (en raison notamment de la mise en page
conservée des sites Web). Autre déception, son module GPS n’est pas utilisable en mode piéton. Enfin, la sensibilité du récepteur GPS et la luminosité de l’écran sont faibles.

Symbol MC35, de Motorola : costaud

Le Symbol MC35 est le seul modèle conçu pour résister aux chocs et aux chutes. En mode GPS, il est satisfaisant aussi bien en guidage vocal que visuel puisque son écran est très lumineux (410 cd/m²) et qu’il bénéficie d’une
définition suffisante (240 x 320 points). Mais, c’est l’un des plus chers sans pour autant être compatible 3G.

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Thierry Virolan