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Droit dans ses bottes, Jean-Michel Hubert, président de l’Autorité de régulation des télécommunications (ART), confiait le 29 mars au Figaro, qu’il ne remettait en cause ni…

Droit dans ses bottes, Jean-Michel Hubert, président de l’Autorité de régulation des télécommunications (ART), confiait le 29 mars au Figaro, qu’il ne remettait en cause ni la technologie de la boucle locale radio (BLR) ni le choix des téméraires dont la mission était d’apporter la concurrence dans les régions françaises. “Les choses ne se déroulent pas comme prévu”, constate-t-il deux ans après la délivrance des licences. Si l’on ne connaissait la réserve toute administrative du président de l’ART, on pourrait croire à une forme d’humour noir. Sur les 12 opérateurs élus, seuls trois semblent aujourd’hui en mesure d’apporter une alternative à France Telecom aux entreprises dont le besoin en services de données est de plus en plus grand. La technologie est-elle en cause ? Non. La volonté de concurrence était-elle démesurée ? Oui, car le retournement des marchés n’explique pas à lui seul cet échec. Moins ?” donc peu ?” d’acteurs ne signifie pas moins de concurrence, comme le souligne à juste titre le président de l’ART. L’analyse n’était-elle pas déjà valide à lété 2000 ?* rédacteur en chef adjoint

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Thierry Del Jésus*