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Ce qu’il faut en attendre

La rapiditéDes saccades dans le déroulement d’une partie, et c’est tout le plaisir de jouer qui est gâché. L’affichage d’un jeu est fluide si la fréquence…

La rapidité

Des saccades dans le déroulement d’une partie, et c’est tout le plaisir de jouer qui est gâché. L’affichage d’un jeu est fluide si la fréquence moyenne de rafraîchissement dépasse 40 images par seconde, bien plus que les 24 images par seconde du cinéma. Selon nos tests, avec une carte récente comme la Radeon 32 SDR, d’ATI, un PC modeste, équipé d’un Pentium II à 400 MHZ, suffit pour jouer en haute résolution et en toute fluidité. Il est presque aussi rapide qu’un PC Pentium III à 750 MHz équipé de la même carte. Les nouvelles puces graphiques calculent désormais la représentation de la scène, et soulagent ainsi le processeur qui, lui, calcule, par exemple, les réactions des adversaires.

La qualité des graphismes

Dégradés parfaits, ombres portées, détails très précis : les cartes proposent désormais nombre d’effets graphiques améliorant sensiblement le réalisme des décors. Et grâce à la puissance des nouveaux processeurs graphiques, il devient possible de jouer en 1 024 5 768 points, même sur des PC peu puissants. La haute définition fait ainsi disparaître les effets de crénelage disgracieux dans les décors en 3D. Pour bénéficier de ces nouvelles possibilités, il est toutefois indispensable de mettre à jour régulièrement le pilote de sa carte. Les constructeurs des puces qui équipent les cartes (3Dfx, ATI ou nVidia) mettent fréquemment en ligne les nouveaux pilotes sur leur site Internet. Certains fabricants de cartes, tel Hercules, sont, eux, bien moins réactifs dans ce domaine. www.3dfx.com, www.ati.com, www.nvidia.com

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Antoine Besse