Passer au contenu

Ce jeu est si difficile que seul un joueur au monde lui a tenu tête plus de 8 minutes

Vous pensez être un hard core gamer ? Alors essayez-vous à Devil Daggers et, comme ce joueur, tentez de décrocher le seul et unique succès du jeu.

Il y a des jeux comme ça qui, à la surprise générale, déclenchent l’engouement d’un grand nombre de joueurs et ce, sans que l’on ne sache pas trop pourquoi. C’est le cas de Devil Daggers, un titre indépendant, mis en vente à 5 euros sur Steam depuis le 18 février.

Et ce ne sont ni ses graphismes ni son gameplay innovants qui attirent. Car, il faut bien reconnaître qu’une main qui jette des flots de dagues en pixels rouges sur des créatures fantastiques et autres arachnides tout en se déplaçant sur une arène fermée, est assez particulier. Toutefois les nostalgiques des vieux jeux de tir à la première personne (Hexen) avec une bande son entêtante et une ambiance très sombre seront ravis !

D’ailleurs, Devil Daggers est encensé par la critique. Pour preuve, sur le site Metacritic, il est aussi bien noté que Rise of The Tomb Raider, les dernières aventures de Lara Croft, c’est-à-dire 86/100. Il a même récolté presque 480 évaluations, dont 456 “positives”, de la part de la communauté de Steam. Communauté pourtant connue pour être assez exigeante et saignante avec certains éditeurs ou indépendants.

Son succès, le jeu le doit en réalité à son objectif : survivre le plus longtemps possible face aux vagues de monstres qui surgissent à intervalle régulier… et ainsi, tenter de décrocher le seul “succès” de ce dernier. Condition d’obtention ? Tenir 500 secondes, soit un peu plus de 8 minutes, sans mourir. Bien entendu, un classement en ligne est sans cesse tenu à jour afin d’apprécier le classement des meilleurs joueurs et peut-être, le vôtre.

A ce jour, seul le YouTuber DraQu a réussi à décrocher le dit-succès, et son exploit est à admirer dans la vidéo ci-dessous.

Honnêtement, cela nous a presque donné envie d’y jouer… pas vous ?

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Aymeric SIMÉON