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Business en bref

Condamnation de Bruxelles : Microsoft fait appel – Computer Associates perd son ex-PDG – Ebizcuss bientôt sur le Second Marché…

Condamnation de Bruxelles : Microsoft fait appel

Sans surprise, Microsoft va faire appel de la décision de la Commission européenne prononcée en mars dernier, devant le tribunal de première instance de la Cour de justice européenne au Luxembourg. L’éditeur espère voir suspendues les
sanctions pour abus de position dominante : une amende de 497,2 millions d’euros, l’obligation de séparer le lecteur multimédia Windows Media Player et Windows, et fournir des informations sur les interfaces Windows à ses concurrents. La
suspension des sanctions n’aura pas d’influence sur le fond de l’affaire, sur lequel la Cour européenne de justice devra également se prononcer, pour déterminer si Microsoft a oui ou non abusé de sa position de leader.

Computer Associates perd son ex-PDG

Sanjay Kumar aura tenu deux mois au poste de Chief Software Architect. Jusque-là PDG, il avait démissionné en avril suite aux enquêtes comptables lancées par les autorités américaines contre l’éditeur, pour être remplacé temporairement
par Ken Cron. Un retrait qui n’aura pas suffi. ‘ Mon rôle confirmé au sein de CA n’aide pas les efforts consentis la société pour aller de l’avant ‘, explique t-il dans un communiqué, justifiant ainsi
sa décision de quitter définitivement la société.

Ebizcuss bientôt sur le Second Marché

Déjà inscrit sur le Marché Libre, le distributeur informatique a obtenu le feu vert de l’autorité des marchés financiers pour son entrée au Second Marché. Après avoir finalisé l’acquisition dInternational Computer, Ebizcuss rejoint sa
proie déjà introduite sur le Second Marché. Aux termes de cette opération, 3 864 268 actions composeront le nouveau capital du groupe. Aucune action ne sera mise à la disposition du public dans le cadre de ce transfert.

Opera moins vulnérable au phishing

Une nouvelle version (7.51) du navigateur Internet
Opera est disponible depuis le 3 juin dernier. Celle-ci corrige une faille qui permettait d’afficher un nom de domaine factice dans le navigateur et de faire croire aux utilisateurs
qu’ils naviguaient sur un site fiable (leur banque par exemple). Les adeptes du phishing utilisent cette astuce pour dérober des données personnelles aux internautes imprudents.

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La rédaction