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Business en bref

AOL Time-Warner lâche AOL – ST Microelectronics ferme à Rennes malgré Nicole Fontaine – Le haut-débit explose… dans les pays riches – Verizon attaque la RIAA en justice

AOL Time-Warner lâche AOL

Changement de dénomination en vue pour le groupe de communication AOL-Time Warner. Selon une information du Washington Post, l’entreprise américaine cherche à gommer la référence à son passé Internet, en supprimant
AOL de ses cartes de visites. La démarche est soutenue par l’actuel PDG du groupe Richard Parsons. En 2001, la fusion entre AOL et Time-Warner avait symbolisé le rapprochement historique entre l’ancienne et ce qui allait devenir l’ex-nouvelle
économie.

ST Microelectronics ferme à Rennes malgré Nicole Fontaine

La ministre de l’Industrie était intervenue pour demander une suspension de deux mois de la décision de ST Microelectronics de fermer son usine de Rennes. Selon ZDNet, rien n’y a fait. Le groupe a continué le processus du plan
social tel que prévu. Aujourd’hui, les représentants syndicaux ont quitté la réunion du comité d’entreprise. Les syndicats comptent maintenant plaider au tribunal de commerce le vice de forme dans la procédure de fermeture de l’usine.

Le haut-débit explose… dans les pays riches

Selon un rapport des Nations unies, les connexions à Internet par le haut-débit ont progressé de 72 % l’an passé, pour atteindre 62 millions de lignes. Mais, et ce n’est pas une surprise, ce phénomène ne touche que les pays
les plus développés. Avec 21 % de sa population totale connectée au haut-débit (soit 94 % des 10,8 millions d’internautes que compte le pays) la Corée du Sud arrive largement en tête. Autre point important relevé par le rapport, le
développement et la diffusion du haut-débit sont beaucoup plus lents dans les pays où le marché est contrôlé par d’anciens monopoles d’Etat. Ainsi en France, où la position de France Télécom est encore très dominante, les services de connexion à
haut-débit seraient 100 fois plus coûteux qu’au Japon.

Verizon attaque la RIAA en justice

Le fournisseur d’accès conteste en justice la légalité des actions menées depuis deux mois par la RIAA contre certains internautes. L’organisation qui représente les intérêts de l’industrie du disque a fondée sa démarche sur le DMCA
(Digital Millenium Copyright Act), un texte voté en 1998. Or selon Verizon, le phénomène du peer-to-peer et le téléchargement illégal de musique qui en découle ne sont apparus quen 1999 avec Napster… Ils ne peuvent donc pas être concernés
par cette loi.

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La rédaction