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Business en bref

97 entreprises françaises parmi l’European Technology Fast 500 ?” La Commission européenne enquête sur le refinancement de Bull ?” Fichiers MP3 piratés : 1 million de dollars d’amende pour une entreprise

97 entreprises françaises parmi l’European Technology Fast 500

Le premier palmarès des entreprises technologiques à forte croissance en Europe vient d’être rendu public ce mardi 9 avril par le cabinet Deloitte & Touche.97 sociétés françaises ont été plébiscitées par l’European Technology Fast 500. Les premières n’arrivent qu’en 34e (Netquartz), 37e (Parfum d’Image) et 38e position (Ismap) avec respectivement 1205 %, 1144 % et 1133 % de croissance du chiffre d’affaires sur trois ans entre 1998 et 2000. Loin derrière Riverdeep Group, une firme irlandaise qui affiche une croissance de plus de 14 000 %.Le 31 janvier dernier, le Technology Fast 50 avait pour la première fois consacré les entreprises françaises. Elles étaient cette fois-ci 175 à concourir sur un total de 1 082 sociétés européennes représentant vingt nationalités, de l’Irlande à Israël en passant par la Finlande.Les sociétés en lice pour l’European Technology Fast 500 doivent impérativement avoir un chiffre d’affaires de plus de 50 000 euros pour l’exercice 1998 et fabriquer une technologie brevetée ou consacrer un budget conséquent à la R&D.

La Commission européenne enquête sur le refinancement de Bull

La Commission européenne a décidé d’examiner les conditions de refinancement du groupe informatique Bull. Dans cette opération, d’un montant de 450 millions d’euros, Bruxelles soupçonne la France d’avoir enfreind le cadre légal des règles communautaires relatives aux aides d’Etat sur le sauvetage et la restructuration d’entreprises en difficulté. Par ailleurs, le PDG de la société, Pierre Bonelli, a indiqué dans une interview accordée à La Tribune que la restructuration en cours serait achevée avant la fin du mois de juin.

Fichiers MP3 piratés : 1 million de dollars d’amende pour une entreprise

Les maisons de disques ont obtenu 1 million de dollars d’indemnités de la part d’une entreprise américaine qui laissait ses salariés échanger leurs fichiers musicaux sur son réseau interne. La société informatique IIS (Integrated Information Systems), qui avait mis un serveur à la disposition de ses employés leur permettant d’échanger des milliers de chansons, a préféré payer cette somme à la RIAA (Recording Industry Association of America), le lobby de l’industrie du disque, plutôt que de risquer un procès.” Cela signifie clairement que les entreprises qui autorisent l’usage de leur équipement pour des infractions aux droits d’auteur s’exposent à des conséquences “, a déclaré Matt Oppenheim, vice-président de la RIAA. Ironie de lhistoire : la société IIS, basée en Arizona, commercialise notamment un logiciel permettant la distribution sécurisée de contenus numériques protégés. Elle emploie plus de 400 personnes dans le monde.

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La rédaction