Bull verra son résultat 1999 grevé d’une provision exceptionnelle de l’ordre de 1,8 milliard de francs liée à la créance résiduelle du groupe dans le constructeur micro informatique américain Packard Bell-NEC.
Pour Guy de Panafieu, les résultats 1999 enregistreront “une perte nette de l’ordre de grandeur de la provision sur Packard Bell-NEC”.
Ce très mauvais résultat s’accompagne d’une quasi-stagnation du chiffre daffaires annuel, qui, toujours selon Guy de Panafieu, ne devrait progresser que de 1,7 %. Mais ce résultat “ne met pas du tout en péril” la situation financière de Bull, indique-t-il.
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