Extérieurement, le nouveau MacBook Pro est identique au précédent modèle, toujours habillé de la même coque d’un seul tenant, belle et épurée. Ce sont les composants internes qui ont évolué, notamment le processeur : le Core 2 Duo a laissé place à une puce Core i7 cadencée à 2,66 GHz. Nos différents tests ont montré un gain de performances compris entre 10 et 50 % selon le type d’opération effectuée. Côté graphique, la puce Nvidia GeForce 9400M est remplacée par un modèle GeForce 330M qui, certes, n’est pas un foudre de guerre mais fait tourner tranquillement tous les jeux actuels, sans avoir besoin de mettre tous les réglages graphiques au maximum.Dommage qu’Apple n’ait pas profité de cette mise à niveau technique pour proposer un emplacement ExpressCard, des ports eSata et USB 3.0, et surtout un lecteur Blu-ray (problème légal avec le noyau Open Source du système). La liste des griefs s’arrête ici, car pour le reste, on retrouve sur ce nouveau modèle tous les avantages des précédents MacBook Pro. À savoir, une ergonomie parfaite, avec en particulier un clavier rétroéclairé associé à un pavé tactile multitouch, et un écran LCD de 15 pouces affichant des images en 1 440 points par 900. Bien qu’elle ne soit pas Full HD, cette dalle brillante délivre une bonne qualité d’affichage, avec des couleurs chaudes et une excellente lisibilité. L’ensemble peut fonctionner sans interruption entre 4 h 40 et 5 h 15 en mode bureautique, ce qui est très satisfaisant. Et 4 h 15 en mode vidéo (lecture d’un fichier DivX), ce qui est encore bien.
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