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Aprisma élargit le spectre de son offre de SLM

La solution Spectrum se décline en trois versions. Elles intègrent toutes un framework attaché aux dernières technologies d’administration.

Aprisma Management Technologies diversifie son offre de solutions de gestion de la qualité de service (SLM, Service level management). Sa solution Spectrum se décline en trois versions : xsight, pour les PME ; integrity, pour les grandes entreprises ; et infinity, pour les fournisseurs de services.Ces trois déclinaisons utiliseront le nouveau concept SLI (Service level intelligence), qui devrait, selon l’éditeur, révolutionner le marché des solutions de gestion du niveau de service, rien de moins. Ce concept, ou plus précisément ce framework, n’est pas sans nous rappeler celui mis en ?”uvre dans la dernière version d’OpenRiver de RiverSoft. Quoi qu’il en soit, il vient faciliter l’administration de l’infrastructure et de ses ressources.

Un module de découverte amélioré

Premier bénéfice apporté par ce framework : l’amélioration du module de découverte des éléments du réseau qui opère aussi bien au niveau 2 qu’au niveau 3, et qui supporte également les VLan. Les protocoles de découverte propres à Cisco Systems et à Cabletron sont ici gérés. Le framework SLI fournit également un nouveau moteur de modélisation appelé IMT (Inductive modeling technology). Enfin, il permet de visualiser clairement les performances et d’identifier automatiquement la cause initiale (Root Cause Analysis) d’une série d’événements qui dégradent le service, que l’on soit en ATM, en Frame Relay ou dans des environnements VLan. Et les alarmes sont ici consolidées afin de n’en renvoyer qu’une seule à l’administrateur avec la liste des objets correspondants, au lieu d’une alarme par objet.

Une solution intelligente, facile à implémenter

L’éditeur affirme se différencier de ses concurrents Tivoli, Computer Associates ou HP par la capacité de sa solution d’administration à faire preuve d’intelligence : “Nos règles d’analyse et de monitoring peuvent s’adapter automatiquement lorsque la configuration de l’infrastructure vient à changer” ; et par sa facilité d’implémentation : “Lorsque nous mettons deux jours à déployer notre solution chez un grand compte, nos concurrents ont besoin de trois à six semaines.”

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Nicolas Belot