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AlloBUG répond aux appels à l’aide des petites entreprises

L’éditeur FRV-Sense crée un réseau de dépannage à domicile. Il dispose de quatre agences et compte en ouvrir une vingtaine supplémentaire.

Le
florissant secteur du dépannage et de la réparation informatique à domicile accueille un nouveau réseau. Mais, contrairement à ses concurrents, AlloBUG, une marque créée il y a six
mois, n’est pas une création pure de réseau.Son originalité est d’être l’émanation d’un éditeur de logiciels de traçabilité des biens et des personnes, FRV-Sense. L’idée de ce dernier est d’apporter aux particuliers et aux petites entreprises
(jusqu’à cinq postes) ce qu’il proposait déjà à ses clients en matière de maintenance et de dépannage sur site. ‘ Certains de nos clients nous demandaient des interventions, mais à titre privé. Cela nous a conduits à
nous interroger sur la création d’une marque distincte, qui pourrait gérer ces prestations ‘,
révèle Philippe Rouvière, le président et fondateur d’AlloBUG.Chose faite avec l’enseigne, qui dispose depuis sa création de trois agences dans les Yvelines, les Hauts-de-Seine ainsi quà Paris, et qui vient d’en ouvrir une quatrième à Lyon. AlloBUG intervient sous quatre heures à
domicile après appel à un numéro Azur unique pour réparer, maintenir, installer du matériel ou effectuer des formations, selon un tarif horaire, dégressif, de 75 euros pour une mission dans un rayon de 50 km.Le réseau propose également la vente de matériel, en s’appuyant sur un partenariat avec Algos Network. Il travaille d’ailleurs à la mise en place d’offres comprenant matériel et prestation
d’installation.

Objectif à terme : 25 agences

Le fondateur d’AlloBUG envisage ‘ un développement en propre dans une dizaine de grandes villes françaises, comme Marseille et Toulouse pour le premier trimestre 2006, ou Bordeaux au cours du premier semestre. A
terme, AlloBUG pourrait rassembler 25 agences. ‘
Si, pour l’heure, le mode d’expansion retenu est celui d’agences en propre, rien n’exclut un futur montage en franchise.‘ Nous étudions la possibilité de nous développer sous cette forme, mais pas avant le second semestre 2006, pour la quinzaine d’agences dans les villes moyennes que nous couvrirons ‘, précise
Philippe Rouvière. Chaque agence comptera en moyenne 5 personnes dont 4 techniciens, des voitures pour les interventions, et devrait générer un CA de 300 000 à 400 000 ?.

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Olivier Waché