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Aladdin traque les mauvais génies

La version 5 de la passerelle de filtrage eSafe intègre la protection antispyware. Et ne limite pas son analyse aux signatures.

Historiquement positionné sur le marché de la
protection antivirale pour messageries, léditeur élargit son champ d’action avec la version 5 de sa passerelle de filtrage eSafe. ‘ Nous répondons à la
montée en puissance des spywares et à la multiplication des vecteurs de diffusion autres que le mail : applications peer to peer, messageries instantanées, pages Web piégées, etc. ‘
, explique Youenn
Pibot, ingénieur avant-vente chez Aladdin.Comme pour les virus, l’éditeur se montre sceptique sur une analyse limitée aux signatures. Fort de son expertise sur la gestion des langages de scripts, il mise sur l’analyse comportementale pour détecter les codes
dangereux. eSafe 5 propose ainsi différents niveaux de protection : il utilise les bases de signatures pour bloquer les intrus au niveau de la passerelle, il détecte les scripts utilisés pour télécharger des codes malveillants et bloque
l’accès aux sites hébergeant des spywares à partir de listes noires.Si un poste est infecté, eSafe neutralise les communications entre l’espion et son serveur hôte. Mais il ne dispose pas encore de fonction curative.

Limiter les faux négatifs

eSafe 5 progresse aussi sur la gestion du spam. Les utilisateurs peuvent gérer les mails mis en quarantaine à partir des rapports envoyés. Il limite les faux négatifs en mettant en liste blanche les émetteurs qui font l’objet
d’une réponse. Enfin, le logiciel devient conforme à
Icap 1.0, prévu pour optimiser les échanges.

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Laurent Sounack