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76 % des DSI mettent en ?”uvre la politique de sécurité du système d’information de leur entreprise.

Publiée cette semaine, une étude sur la sécurité des systèmes d’information a été menée par le Cigref auprès de ses cent quinze membres en mai 2002….

Publiée cette semaine, une étude sur la sécurité des systèmes d’information a été menée par le Cigref auprès de ses cent quinze membres en mai 2002. Cette étude dresse un état des lieux de la sécurité des systèmes d’information dans les grands groupes français. Elle évoque une nouvelle notion : l’intelligence juridique. L’idée ? Envisager le droit comme un outil stratégique plutôt que comme un mal nécessaire. Cette notion est indissociable de l’implication de plus en plus grande des DSI dans les problématiques juridiques ?” un rapport traitant de leur responsabilité pénale et des enjeux juridiques liés au système d’information sera publié par le club à la fin de 2002. En effet, l’intelligence juridique intéresse directement les DSI. Et ce à plusieurs titres. D’abord, parce qu’elle s’inscrit dans la logique de contractualisation dans laquelle ils se placent de plus en plus souvent vis-à-vis de leurs fournisseurs ?” les éditeurs de logiciels en particulier. Ensuite, parce que, sur des sujets comme la propriété intellectuelle, les données nominatives ou la cybersurveillance, la réglementation implique directement leur responsabilité personnelle aujourd’hui. Conséquence : de par leur implication technologique, les DSI ne sont plus des acteurs de l’entreprise juridiquement neutres. Et ils sont d’ores et déjà près de la moitié à le reconnaître : plus de 40 % d’entre eux s’estimeraient, selon l’étude, pénalement responsables en cas d’attaques ou de préjudices menés à l’encontre de leurs systèmes dinformation.

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AMu